C'est la formation spéciale qu'un pilote de Boeing 787 Dreamliner de Air France il faut se soumettre pour voler dans les hauteurs des Andes.
Les aéroports internationaux de Bogotáá et Quito ils sont spéciaux. Ces bornes sont situées à une hauteur de más de 2.200 mètres au-dessus du niveau de la mer, on s'entoure de monturesñau fur et à mesure de votre opérationón est considéré comme complexe ou spécial par les compagnies aériennesínie.
Ces deux aéroports et d'autres qui sont situés à la hauteur de la chaîne de montagnesñguêpe mále plus grand du monde connu aussién comme les Andes, Ils présentent une complexité pour l'Aérolíles lignes et leurs pilotes doivent suivre une formation spéciale pour voler icií et être certifié à cet effet.
Commeí C'est comme il y a quelques joursícomme Christophe Cuny, pilote de cet avion et de l'aéroportínea Air France publiqueó quelques photos intéressantes et víles détails de votre processus de certificationón pour pouvoir voler dans le próximos díAce sur le vol direct Paris-Quito dans cet avion moderne.
L'attestationón
En exclusivité, Chris a partagé avec nousó certains je suiságènes et vidéos de ce processus:
On voit très bien sur les écrans de navigation la représentation du relief rendue par l’EGPWS. Tout ce qui est jaune ou rouge est au-dessus de nous…
La piste, située « sous » la ville, c’est la petite tâche beige que l’on devine au-dessus du reflet de l’iPad dans la glace… pic.twitter.com/9idKndEyEM— Christophe CUNY (@chcuny) Novembre 19, 2019
Chris commente que le processus pour pouvoir voler à Quito, qui est 2.200 mètres d'altitude consiste à réaliser une séanceónuméro de simulateur à certifier pour opérer à cet aéroport, la même chose qui se passe vers Bogotá:
Quand AF a décidéó aller à Quito avec lui 787, c'était clair d'êtreíune formation est nécessaireón supplémentaire du fait de cette configurationóspécial aéroport: haute altitude, espace de manœuvre limité, volcans, trajectoires particulières en cas de panne moteur à l'arrivée ou au départ, des conditions météorologiques défavorables (vent et cisaillement du vent/ prend d'assaut leécritères) …
En collaboration avec les autorités aéronautiquesón français, se implementó un ansóSystème de simulation dédié à la formation des pilotes. Lors de cette formation complémentaire de 3 heures et 30 minutes, 2 capitaines et 2 Les premiers officiers prennent les commandes les uns après les autres et effectuentán au moins: 1 approximationón dans chaque QFU avec un tour suivi d'une panne moteur, 1 décollage à chaque QFU avec une panne moteur aprèsés de V1.
L'objectif est de connaître la situationóEnvironnement général, apprenez à configurer FMS pour obtenir la meilleure aide en matière de gestionón de trajectoires de panne moteur (avec une distance míanimer au sol) et préparez-vous à toutes les situations particulières qui pourraient survenir.
Además, Air France a décidéó que seulement un núnombre limité de membres d'équipageóêtreán qualifié pour maximiser votre expérience. Cela devient réalitéó une sélectionón, basé sur les compétences professionnelles, pour obtenir un núnombre suffisant de pilotes qualifiés pour permettre à environ 1 Je vole à Quito tous les mois.
Une fois la formation sur simulateur validée, les pilotes effectuentásur un vol normal, sans moniteur supplémentaire, comme c'est parfois le cas.
Tous les pilotes ayant suivi cette formation sontáIls sont très heureux de découvrir cette nouvelle destination et de mettre à l'épreuve leurs compétences..
Evidemment, on ne simule pas jusqu’à l’atterrissage, la plupart des petits « vols » virtuels se terminent en remise de gaz avec une panne moteur… c’est plus formateur ! 😰
Dans ce cas, les trajectoires nous font naviguer dans les vallées les plus proches, même dans les nuages. pic.twitter.com/CXtgCCWLS3— Christophe CUNY (@chcuny) Novembre 19, 2019
Spaghettién, explique que dans le plus grandíLors des vols virtuels, aucun atterrissage complet n'est effectué, sino máeh bien, ce qui est pratiqué, c'est approches manquées avec panne dans l'un des moteurs, de cette façon, les pilotes sontánmás préparé aux situations d’urgence potentielles et aux «víceux d'échappement» sans moteur et procédures respectives.
Tout cela pour garantir un fonctionnementón 100% en sécurité dans la complexité des opérations dans les aéroports chauds & aussi haut qu'ils soient Bogotá, Quito et autres.
De très belles vidéos