Aujourd'hui, nous allons parler d'interceptionón d'avions civils après la décisionón du gouvernement national sur la mise en place d'un loi de renversement d'avions.
Message écrit par: Maximiliano Naranjo Iturralde
Un accessoireósite de la décision correcte et nécessaireón adopté par le gouvernement national, installer un radar sur la colline “Montecristi”, situé dans la province de Manabí, dont le but est de contrôler l'opérationón d'avions entrant dans l'espaceéillégalement condamné, Il est nécessaire de replacer la question juridique dans son contexteídicton applicable, la même chose qui dit relationón avec le principe de souverainetéíle pouvoir plein et exclusif exercé par les États sur leur espaceéréo.
À la suite de l'écrasement d'un avion de Compagnies aériennes coréennes, Vol KAL 007, le 25° parísession extraordinaire de l'Assemblée générale de l'OACI, approbationó, la 10 Mai 1984, le Protocole d'amendement à la Convention relative à l'aviationón Internationale Civile (Chicago, 7 de décembre à 1944), incorporer l'artícul 3 bis, dont la partie centrale établit:
“Chaque État doit s'abstenir de recourir à l'emploi d'armes contre des aéronefs civils en vol et cela, en cas d'interceptionón, La vie des passagers de l'avion ou la sécurité des passagers ne doivent pas être mises en danger. éstas. La disposition actuelleóje ne peux pas interpréterá en ce sens que les droits et obligations des États stipulés dans la Charte des Nations Unies ne sont en aucune manière modifiés”.
Selon cette norme, c'est obligatoireón de tous les États publient leurs réglementationsón à l'interceptionónombre d'avions civils. L'Équateur, un voyageés de la Directionón de l'aviationón Civile, émisó la Réglementationón (Partie RDAC 91), qui consulte la réglementation applicable à l’interceptionónombre d'avions civils. La Convention citée, ne s'applique qu'aux aéronefs civils, et non à l'état des aéronefs (utilisé dans les services militaires, douane ou policeíune).
La Forcer AéRégion équatorienne (EAF), est en charge de l'exploitation du radars primaires -comme celui à installerá sur la colline de Montecristi, et la gestionón Général de l'aviationón Civile (CAD), sommes radar secondaire; les premiers, pour détecter les avions volant à basse altitude, et, le deuxième, pour contrôler le tránsito unécondamné des avions qui suivent l'aérovíceux autorisés, mais ils ne détectent pas ceux qui volent à basse altitude.
Sont les services de circulationánsito unéréo, qui exploite le radar secondaire du DAC, ceux qui informent le EAF de ces avions non identifiés ou de ceux qui ont violé l'espaceéprisonnier sans autorisationón, pour quelle raison, épuisant toutes les mesures nécessaires, continuer à contacter l'avion, avant que l'interception ne se dérouleón, garantissant toujours la vie de ses occupants et la sécurité des aéronefs en vol.
Le but est de faire disparaître les raisons qui ont donné lieu à un tel accident.ón, déjà pour être entré dans espace pouréréo sans autorisationón, déjà pour avoir enfreint le code de la routeánsito unéréo, ou pour considérer qu'ils sont utilisés à des fins incompatibles avec la convention de Chicago. L'interceptionón ça se fait comme údernier recours, et, arriver, devrait se limiter à déterminer l'identité de l'aéronef, la faire revenir à sa défaite (parcours ou itinéraire) prévu, dirige-le mác'est toutá du líacariens de l'espaceéprisonnier national, quitter le secteur survolé pour des raisons de sécurité nationale, si c'est le cas; si vous ignorez le óordres, donne des instructions pour l'atterrissage.
L'artícul 3 bis, réserve les droits et obligations des États en vertu de la Charte des Nations Unies, Quoi, entre autres, garantit le droit inhérent à la loiídéfense de Tima - cela pourraitídevenir la destruction d'un avion; mesure extrême -interdite par la communauté internationale-, quoi appliqueríexceptionnellement en cas d'agressionópas externe ce qui esté mettre en danger la sécurité nationale d'un État, mais en aucun cas inapplicable pour les aéronefs civils.